Tu ne fus que chair en somme
Et Poussière tu es redevenu…
Un jouet que le vent gomme
Enfui dans le néant, nu.
Tu ne fus qu’un Homme
Masquant toutes tes blessures.
Que le Grand Créateur pardonne
Toutes tes offenses et tes abjures
Pour ne point partir à genoux.
Aspiré par l’obscur tu es parti
Te revoilà à nouveau apprenti
Enveloppé de brume grise, voilà la fin...
Maintenant tu erres dans les profondeurs
Soudain !...cette lumière blanche
Elle t'apporte sa chaleur
Et te sort de ton coffin.
Sur la vie une vraie revanche
Et ton âme envolée dans le pays bleu
Vers un infini heureux...
Miribab*