13 Octobre 2016
Un jour, je l’aperçus sur les grandes allées,
La terre, de nature grise, se colorait de couleurs chaudes,
Où brindilles et feuilles mortes s’envolaient au doux vent d’octobre.
Sous ces arbres, aux feuillages rougit par l’arrière-saison,
Je suis tombé sous ses charmes, femme de rêve, aux pas heureux.
Sous ces arbres, Il y a longtemps, sa chevelure flottant derrière elle,
Le bonheur sur son visage, son regard doux et caressant,
Prestement, envoûte toujours mon esprit ;
Accroché à ses lèvres, son sourire qui passe,
Me prend et m’enlace est un éclat dans l’espace.
Sa peau comme une toile s’offre au pinceau
Du soleil pour une teinte brune sous l’azur du ciel.
Silhouette angélique, démarche légère,
Mes yeux s’hasardent sur son corps de rêve ;
Je la revois encore, et en ce jour,
En poète rêveur, je colore ce tableau,
De tendres souvenirs et de mots d’amour.
Miribab*